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« Je suis ressortie de la MasterClasse Climat WeNow avec la conviction que je pouvais avoir de l’impact » – Pluxee

5 septembre 2024 - par Valérie Mas

Image décorative.

Margaux Descamps a été embauchée en décembre 2023 chez Pluxee.
En juin 2024, elle a assisté à la MasterClasse Climat WeNow animée par Aurélie.
Elle a accepté de partager ses impressions.

Lorsque vous avez appris que vous alliez assister à une MasterClasse sur le climat, quelle a été votre réaction ?

Margaux Descamps – De l’enthousiasme ! Je trouve chouette qu’une entreprise organise une telle conférence pour ses employés. Je me sens concernée par le sujet, et je cherche déjà à agir à mon échelle. C’est d’ailleurs l’importance que Pluxee accorde à la RSE qui m’a convaincue de les rejoindre il y a 8 mois.
Mais je vous avoue que je me suis quand même demandée comment cette conférence allait se passer. Ça me paraissait compliqué de rendre une conférence sur le climat intéressante aussi bien pour des personnes engagées que des novices ou des réfractaires…
Et, franchement, chapeau. Elle est intéressante pour tout le monde.

Comment décririez-vous la conférence ?

M. D. – D’abord, elle rend l’action climatique accessible. Beaucoup de conférences multiplient les chiffres et on peut vite décrocher. Là, j’ai trouvé que la MasterClasse était hyper accessible, bien vulgarisée tout en n’étant pas trop basique.

Elle est positive et montre le bon côté des choses. Agir pour le climat, ce n’est pas renoncer, c’est écrire de nouveaux récits.

Elle clarifie les ordres de grandeur d’impact de nos actions. Elle permet, par exemple de se rendre compte de la différence d’impact entre couper l’eau quand on se lave les mains et réduire – même un peu – ses voyages en avion.

Elle rassure aussi sur notre utilité individuelle. On a tendance à dire “moi, à mon à mon échelle, je ne peux rien faire. C’est les entreprises, c’est le gouvernement”. Pourtant, on a un pouvoir énorme en tant que consommateur. Et je trouve que la MasterClasse permet d’en prendre conscience.

Elle est déculpabilisante et ne préconise pas des actions trop “drastiques” comme arrêter l’avion, par exemple. Certes, c’est la meilleure solution. Mais ce n’est pas comme cela qu’on embarque les personnes les plus réticentes. Elle propose plutôt des actions à la hauteur de chacun.

Elle est interactive, ça se voyait notamment dans la participation aux quiz.

Elle est pratique et basée sur l’action. Le concret, c’est important, car ça permet de mieux retenir.

Je trouve que si on a retenu 4 ou 5 petits éléments qui vont nous aider dans notre vie quotidienne à prendre les bonnes décisions, et bien c’est déjà gagné !

Vous disiez que vous étiez assez engagée. Avez-vous quand même appris des choses ?

M. D. – Bien sûr. Même quand on s’est déjà renseigné sur le sujet, chaque conférence permet d’aborder de nouveaux aspects de l’action climatique. Certains éléments me sont apparus encore plus clairs.
Par exemple, sur mon impact. Avant la conférence, on nous invite à réaliser notre bilan carbone personnel. Les résultats m’ont rappelée que je suis encore loin du compte. Et pourtant, je me considère dans les gens qui font déjà des efforts.
Autre exemple, l’impact de la phase de production sur le bilan carbone des objets du quotidien. J’ai trouvé l’exemple du smartphone particulièrement parlant.
Dernier exemple sur la mobilité. J’ai bien aimé l’idée que « l’avenir de la voiture est la voiture électrique, mais que la voiture n’est pas l’avenir de la mobilité ».

Pour vous, quel est le principal atout de la conférence ?

M. D. – Son principal atout, c’est qu’on en ressort avec l’envie d’agir. Et surtout on se rend compte que c’est accessible. Que chacun peut faire des petits gestes sans changer complètement de mode de vie. Et que, justement, petit geste après petit geste, l’impact devient important.

Proposer une telle conférence, ça a un impact sur une entreprise, d’après vous ?

M. D. – Oui, car ça montre l’envie de l’entreprise d’avoir un impact justement. Peut-être qu’en tant qu’employé on peut se dire  “encore une formation obligatoire !”, mais finalement je suis sûre qu’on en est tous ressortis grandis. Je ne peux pas imaginer que quelqu’un se soit dit “j’ai perdu mon temps”. Et ça, c’est grâce à la manière dont vous traitez le sujet. D’autre part, la RSE devient un argument qui peut faire pencher un client en notre faveur. On voit que nos clients s’y intéressent de plus en plus donc, oui, ça encourage à en faire davantage.

Qu’aimeriez-vous maintenant ?

M. D. – A la fin de la conférence, on nous demande ce qu’on prévoit de mettre en place chacun à notre niveau. Je pense que ce serait bien de faire une sorte de « suivi » pour que ça ne reste pas simplement un « super moment » passé ensemble. Ce serait génial qu’on puisse dire après quelques semaines ou quelques mois “Ça m’a inspiré et ça m’a donné envie de faire mieux. Et j’ai déjà fait tel ou tel changement”.

C’est vrai que c’est difficile en tant qu’entreprise d’obliger ses employés à faire des choses à titre personnel, mais on peut mettre des initiatives en place pour que les employés partagent leurs idées. Des communautés de gens qui ont un potager, des forums pour partager ses vacances en train en Europe, des groupes de personnes qui s’échangent des recettes végétariennes, par exemple. Ça permet de se sentir moins seul dans sa transition.

Un énorme merci. Bravo pour cet enthousiasme.

M. D. – Bravo à vous ! On récolte ce que l’on sème ; le fait que vous abordiez le sujet de manière hyper positive fait vraiment du bien 🤩

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